Préparatifs

Documentation et cartographie

Sur place, vous n’aurez besoin que de trois cartes IGN au 1/25000e : 3237 OT Glandasse / Col de la Croix-Haute, 3236 OT Villard-de-Lans / Mont-Aiguille et 3235 OT Autrans / Gorges de la Bourne. Elles couvrent l’intégralité du circuit et sont indispensables. Un guide de poche, plus récent et uniquement consacré au Vercors, « GTV - Les Grandes Traversées du Vercors (à pied) » (ed. Glénat) n’est pas indispensable du fait que le balisage est soit excellemment bien fait et qu’il y a des indications sur de nombreux panneaux à chaque carrefour de sentiers soit qu'il n'existe pas et qu'il n'y d'autres explications que celles de la description du topo sur le site que vous êtes en train de consulter...

En complément de votre randonnée (avant ou après), vous pouvez vous connecter sur le site officiel du Parc National Régional du Vercors. C’est un suberbe site web qui vous présentera bien des aspects de la région que vous allez traverser (historique, géographique et pratique). De création plus récente, le site de la Grande Traversée du Vercors vous donnera une foule de renseignements pratiques et entre autres l’état des sources.

Equipement

Côté équipement, privilégiez les systèmes trois couches, ainsi que de très bonnes chaussures de rando. Aucun passage technique nécessitant un équipement spécial (crampons, piolet, corde…). Si vous êtes un adepte des bâtons de marche, ils pourront soulager vos genoux lors des nombreuses descentes et vous aider à passer quelques portions de lapiaz, très glissants après la pluie ou le matin avec la présence de rosée. Gare !

Un sac à dos de 50 à 60 litres dans lequel vous disposerez au moins d’un duvet (nuit dans les cabanes ou les gîtes d’étape ne disposant pas de couvertures), le matériel de bivouac avec tente et matelas auto-gonflant, de plusieurs gourdes et d’une outre (très utile lorsque la source est éloignée du lieu de bivouac ou qu'il faut transporter l'eau d'une journée sur l'autre, d’une gamelle, d’un bol et d’un verre. Ne pas oublier la cape de pluie, on ne sait jamais..., ainsi qu'une sangle et un mousqueton pour accrocher la réserve de nourriture à une des poutres des refuges, ceux-ci étant colonisés à longueur d’année par un habitant « sympathique » : le loir. Eh bien, je peux vous le dire, ça fait des ravages !

Quand partir ?

De fin mai à fin octobre. Attention ! Les sources ne sont pas pléthore même en pleine saison et à partir du 15 juillet le goutte-à-goutte est de mise avec qu'elle soit à sec jusqu'au printemps de l'année suivante...

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